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Situation au

22/10/2024

Des nouvelles des détournés déroutés...

 

Cette page présente les dernières nouvelles; elle est mise à jour en fonction de leurs arrivées...

 

 


Du Mercredi 23 Août au Mardi 29 Août 2006

Peshawar, Islamabad, Lahore...

Pour ne pas avoir à rouler sous ce climat chaud et humide (celui qui vous fait transpirer à grosses gouttes dès que vous soulever une paupière), nous ferons les trajets en train. Peshawar-Rawalpindi-Rawalpindi Lahore.

Islamabad (15 km au nord de Rawalpindi), la capitale administrative, nous apparaît tout de suite anachronique avec ses rues à angles droit, ces petits quartiers bien délimités. D'ailleurs pour se déplacer, c'est comme à la bataille navale. Quand vous demandez votre direction on vous dit G7, H8.... Touché coulé, nous n'aimons pas cette ville où pour tant nous trouvons tout ce dont nous rêvons quelques fois. (Nutella, Pringles, ...). Faut dire que dans cette ville, sont regroupés tous les expatries travaillant dans les ambassades.

C'est d ailleurs pour cette raison que nous sommes passés à Islamabad, pour obtenir notre visa Indien.

Nous nous sommes donc rendu dans cette enclave diplomatique où l'on ne pénètre que dans un minibus après une fouille minutieuse. A l'ambassade d'Inde nous avons déposé notre demande. Le visa sera prêt dans 7 jours, soit le 31 août 2006 à 16 heures guichet 2.

 

20060829_islamabad.jpg

 

Pour ne pas rester dans cette ville, (qui porte bien la finalité de son nom) nous prenons de nouveau le train pour Lahore. Je remonterais le 31 pour récupèrer le fameux sésame.

A Lahore, où nous sommes actuellement et où il pleut beaucoup (mousson), nous avons trouvé un petit hôtel bien centré.

Malheureusement, il était complet. Du coup, le patron de l'hôtel nous loge chez lui, mais comme il dit, nous ne sommes plus des clients, mais des invités. Et c'est comme cela, que nous bénéficions d'une pièce avec tout le confort, internet, des repas, la TV, un fils qui nous promène en voiture...

Patricia et Christian


Du Vendredi 18 Août au Lundi 21 Août 2006

de Chitral à Peshawar...

Ce matin, nous apprenons que la route est praticable par quelques 4X4 un peu fous. Si un 4X4 passe, un vélo doit passer. Donc, avec cette rapide déduction et après s'être envoyé un énorme petit déjeuner, nous filons vers notre ami motorisé pour lui apprendre la bonne nouvelle. Comme promis, il est prêt à nous transporter jusqu'au point critique de notre demi tour, afin de nous éviter de faire pour la troisième fois la route.

À 10h00, les vélos sont chargés, à 10h30, nous faisons réparer un pneu...

À 15h00 et après avoir parcouru les 80 km nous séparant de notre point 0, nous déchargeons les vélos, et souhaitons bonne chance à Christian T, qui lui doit retourner à Chitral attendre ses nouveaux pneus.

Effectivement la route a été débarrassée de ses énormes blocs de granit, mais malgré cela, il est impossible de rouler...

 

20060828_lowari_cycliste_un_peu_folle.jpg

 

Donc nous poussons sur 5 km. Ensuite, les travaux ayant avancés, nous pouvons essayer de rouler, mais le pourcentage est extrêmement élevé. (Nous prendrons 1500 mètres en 12 km...)

 

20060828_dur_lowari.jpg

 

Au départ des lacets, nous nous ferons héberger dans une cabane faisant office de poste de police. Dès notre installation finie, dans une pièce noire et enfumée, nous retrouvons notre policier, qui nous propose du Hashish. (C'est très courant dans la région, mais c'est la première fois par les forces de l'ordre.)

Le lendemain, nous attaquons la pénible, mais magnifique route du Lowari pass. 15 km de lacets les uns sur les autres...

 

20060828_30km_de_dur_bonheur.jpg

 

...Une des plus belles pistes que nous ayons faites...

 

20060828_magnifique_lowari.jpg

 

Au col, nouveau check post où nous signons notre passage et c'est la descente sur Dir. Au passage, nous croisons quelques routiers intrépides qui s'attaquent au col à l'allure d'un piéton, puisque la cinquième roue du camion, souvent un adolescent, court devant pour enlever les grosses pierres ou indiquer au chauffeur ou passer...

 

20060828_lowari_camion_fou.jpg

 

A Dir, nous retrouvons un semblant de goudron sur 10 km, ensuite, c'est de nouveau la piste. Ce soir nous dormirons chez le gardien d'une antenne de télécommunication.

La journée du 20 se fera dans la plaine et se terminera vers 14h00 chez Abdula. (voir article Un dimanche en famille).

Lundi 21, après franchissement de notre dernier col Pakistanais (984 m), nous plongeons sur Peshawar, toujours sur une très mauvaise piste. Ce soir, après 117 km, nous fêterons dignement notre 10 000ème kilomètre...

Patricia et Christian


Mardi 22 Août 2006

Peshawar...

Quelle ville surprenante et envoûtante. Des notre arrivée, nous sommes pris dans cette ambiance de ville Asiatique. Grouillante, bruyante, sale et pourtant nous sommes tombés sous le charme...

 

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Un petit hôtel au milieu du bazar, des ruelles minuscules où circulent les charrettes à bras, les chevaux, mais surtout les envahissant Tuk-Tuk (Tripoteurs sur base de Scooter)...

 

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Comme dans tous les bazars, les corps de métiers sont regroupés par rues, ainsi on trouve la rue des moteurs, des oiseaux, des épices, des fringues... Facile pour faire sont marché et faire jouer la concurence...

 

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En périphérie, il y a ces magnifiques bus décorés de façon excessive qui vous emmènent dans les quartiers voisins. Patricia préférant se reposer après ces journées un peu dure, j'empruntais un de ces fameux bus pour me rendre dans le camp de réfugiés Afghan tout proche...

 

20060829_peshawar_bus.jpg

 

Dans cette zone tribale, on entre dans une mini ville. On se croirait en Andorre. Tout se vend, or, voitures, Hi fi, réfrigérateurs, TV, jouets, parfums... D'ailleurs il y a beaucoup de monde pour venir acheter les produits introuvables ailleurs, comme les DVD pornos que les Pakistanais dissimulent maladroitement sous leurs Djellabas...

Un peu plus loin, de l'autre côté d une barrière gardée par la police, il y a le marché aux armes et à la drogue. J'y pénétrerais sans autorisation, accompagné d'un Afghan. Là, vivant sous des toiles de tente, des réfugiés Afghan, font le commerce d'armes sans aucun contrôle, seulement régie par des lois tribales. J'aurais en main un fusil mitrailleur, des pistolets, des plaque de cocaïne valant sûrement plusieurs millions d'euros dans nos banlieues...

Impressionnant, mais n'étant pas acheteur et surtout très mal à l'aise, je ressortirais rapidement de cette ambiance un peu glauque.

A la sortie, interception par la police, qui une fois la morale faite et une fouille en règle, me laisserons partir. Promis, je n'y retournerais pas.

Dans le bus du retour, les contrôles sont fréquents et les fouilles systématiques.

De retour à l'hôtel, je raconte mon après-midi à Patricia, qui me demande si c'est pas un peu con-con d'aller là bas juste pour se faire photographier avec un barbu et un fusil... Finalement je crois qu'elle a raison...

 

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Patricia et Christian


Jeudi 24 Août 2006

GILGIT - CHITRAL

Aujourd'hui 14 Août, c'est fête nationale (fête de l'indépendance). A part des drapeaux partout, des voitures et des vélos aux couleurs du Pakistan, la vie ne s'est pas arrêtée. Par contre, nous pourrons profiter des festivités, notamment du match de polo. Invités à la tribune d'honneur, nous refuserons l'invitation, pour nous mélanger aux quelques spectateurs et surtout pour pouvoir nous sauver à notre guise... Ce soir, il y a aussi le bal, mais il n'y a que des barbus qui sautillent en se tenant par la main, cela perd de son charme et n'y assisterons qu'un très court instant.

Alors qu'en France la ville de Lourdes remplie ses tiroirs caisse, nous prenons la direction du Lowari Pass (3100 mètres). Dès la sortie de Chitral, la route, à notre très grand étonnement, descend vers 1400 mètres et ne prend plus 1 mètre de dénivelle. En travaux d'agrandissement, nous galérons au milieu des graviers et autres roches tombées de la falaise. Au village de Drosh, nous nous approvisionnons, car c'est le dernier lieu de vie avant le col... Dès la sortie du village, la police nous prévient que la route est coupée. Mais tel Saint Thomas, nous ne croyons que ce que nous voyons. 25 kilomètres plus loin, nous voyons ce que nous ne voulions pas croire. Et cette fois ci, c'est la bonne. 1-2-3 0, la nature a cette fois-ci gagnée. La montagne s'est effondrée, emportant la route sur 15 kilomètres. Impossible de passer. Malgré notre insistance, nous nous trouvons aucun fou pour nous servir de porteurs (rémunérés)... Donc, obligés de faire demi-tour. Un pick up accepte de nous ramener au village de Drosh. La ballade en pick up est en elle même une véritable aventure. Imaginez, 20 personnes accrochées aux ridelles. Vu l'état de la piste, le 4X4, fait des bons impressionnants. Pour ma part, je suis assis au fond de la caisse, (Patricia a eu droit a un siège à l'intérieur) mais les autres passagers sont assis sur leurs talons sur des ridelles de 10 centimètres de large et se tenant à peine. Quelle prouesse physique. Les branleurs du Paris Dakar n'ont vraiment pas de quoi la ramener...

A Drosh, alors que la nuit commence à tomber, nous serons pris en charge par Abdul. Un être saint, qui consacre sa vie aux plus démunis, en essayant de leur apporter santé et éducation. Nous passerons la nuit dan sa maison.

Le lendemain, après nous être nourris et loger, Abdul, refusera notre contribution pour aider ses filleuls. Reprenant les vélos, nous referons en sens inverse la route jusqu'à Chitral et passerons la journée avec Christian T. (voir article Péche à la mouche) en espérant de bonnes nouvelles dans les jours à venir...

Patricia et Christian


Mercredi 09 Août 2006

GILGIT - CHITRAL

Après un arrêt thé dans la boutique du vendeur de pièces détachées autos, rencontré la veille alors que je cherchais encore quelques fanfreluches pour décorer le vélo...

 

20060828_velo_decore.jpg

 

...nous prenons la direction de Chitral. Le 1er jour, nous parcourons 80 kilomètres sur cette route à l'asphalte qui ferait (presque) palir les AREA (compagnie des autoroutes Rhones Alpes en France). Ce soir nous dormirons dans un champ. Nous plantons la tente, pensant être seuls. C'était sans compter le véritable camping qui se trouvait juste un peu au dessus de nous. Une ou deux familles de fermiers qui vivent (depuis combien de temps ?) sous des temtes. Très vite nous devenons l'attraction principale. Adultes (hommes) et enfants viennent s'installer pour le spectacle. En quelques minutes, il y a 20 personnes autour de nous assisent sur leurs talons, qui nous observent. Les commentaires (qui nous echappent complétement) vont bon train. A la fin de notre repas que personne n'a voulu partager, malgré nos offres, on nous amène de délicieuses grappes de raisins... A la nuit noire, il ne reste que 2 ou 3 personnes.

Le lendemain, malgré un reveil matinal, nos plus fidèles spectateurs sont déjà là, Nous reprenons notre route qui monte tranquillement en surplombant de plus en plus la rivière. Après 85 kilomètres, nous dormirons au sommet d'un petit col à 3100 mètres en surplomb d'un petit lac.

Au matin du 3ème jour, c'est la fin de la route asphaltée. La piste qui suit est terrible, que de la grosse caillasse qui projete le vélo un peu n'importe où. Nous traversons des villages où il n y a rien pour se ravitailler (même pas du Coca Cola, c'est vous dire la taille des villages). Heureusement nous avons prévus nos provisions. La piste qui malgré sa difficulté s'élevait lentement, quitte maintenant la riviere et s'élève brusquement vers un plateau. Nous devrons pousser les vélos sur 2 kilomètres tellement le pourcentage est élevé...

 

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Arrivés sur le plateau, nous découvrons des lacs, mais aussi un vent qui souffle en tempête. L'orage n'est pas loin. Par chance, alors que la pluie s'abât sur nous avec une violence incroyable, nous découvrons au col du Shandur (3810 mètres), une barraque (baptisée pompeusement "hôtel")...

 

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...où nous nous réfugions. La pièce, sans eau ni électricité, nous coutera 1 Euro. Nous passerons la soirée avec l'hôtelier qui nous explique que au mois de juillet, il y a un important tournoi de polo sur le terrain juste en contre bas. Aujourd'hui nous aurons parcouru 40 kilomètres.

 

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En ce samedi 12 Août, nous attaquons une decente encore plus mauvaise que la montée (nous allons devenir les spécialistes du rattrapage du derapage incontrolé). Vraiment l'impression que nous allons briser le vélo à chaque tour de roue.

 

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L'orage, largement aussi violent que la veille, nous rattrape au poste de contrôle de Mastuj, où nous nous abritons sous la tente trouee du policier. Vers 14h00, nous reprenons la route, mais hélas la mauvaise et nous nous retrouvons dans un cul de sac. Demi-tour de 6 kilomètres pour prendre la bonne piste qui traverse la riviere Chitral sur un pont où 2 vélos se croisent à peine.

 

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Dix kilomètres plus loin, nous retrouvons les quelques véhicules qui nous ont doublés dans la journée. Tout le monde est bloqué car la route a été emportée par le violent orage. Devant l'impossibilité de passer, nous plantons la tente au sommet de la falaise. Distance parcourue 40 kilomètres.

Ce matin, avec l'aide des habitants du village voisin, nous réussissons à franchir, au prix de quelques mètres dans de la boue jusqu'aux genoux, la coulée de la veille. Encore 20 kilomètres de toujours très mauvaise, mais incroyablement belle piste, et nous rejoignons, le goudron au village de Boni. Nous fêtons cela au mecca cola, et aux gâteaux Lu. Sur le goudron la vitesse augmente, et malgre quelques coup de cul la route est globalement descendante. Et c'est là, au village de Muroi, que tout faillit basculer... Comme dans un mauvais film catastrophe, alors que l'orage gronde depuis un bon moment, nous traversons un minuscule ruisseau dans un bruit assourdissant. Le temps de lever les yeux et mous voyons une gigantesque vague de boue déferlant de la montagne. En quelques dixième de secondes, la route que nous venions à peine de franchir avait disparue.

 

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Nous sommes restés un instant, hébétés, à constater avec les villageois à constater le désastre par Dame Nature. Mais notre voyeurisme et notre courage s'arrêtant avant le retour à la réalité et à la très dure constation des dégats et des pertes, nous filons. En cette fin d'après-midi nous parcourons 60 kilomètres, tête dans le guidon, pour quitter et oublier ces gorges qui nous ont foutus la trouille. A 19h00 et après 100 kilomètres nous atteignons Chitral, cette ville grouillante et sympathique, pour nous réfugier dans un petit hôtel avec jardin. Après une bonne douche (froide), nous nous mettons au lit, heureux d'être en vie.

Patricia et Christian


Lundi 07 Août 2006

Mea Culpa

Nous regrettons. Nous regrettons sincèrement le départ de Pierre. Mais nous déplorons surtout que ce départ prématuré puisse nous être imputé.

Bien avant le départ, la possibilité d une rupture avait été envisagée, avec l'option de rouler chacun de son côté et de se retrouver de temps en temps pour partager nos anecdotes. Cela a été fait en Iran, cela aurait pu continuer...

Mea Culpa pour ne pas avoir su gérer nos différences de points de vues, de conception même du voyage, d'âges, de stress et de peurs...

C'est vrai que nous aimons les choses qui bougent, avec le besoin de les faire bouger, même s'il faut bousculer de temps à autre le politiquement correct. C'est vrai également que nous sommes partis pour vivre pleinement et intensément notre voyage...

Alors Méa Culpa, mais avant de nous lancer la pierre, faites l'expérience d'un voyage avec PAS...

Pour nous le voyage continue (à cette même adresse), la parenthèse est définitivement fermée, nous souhaitons à Pierre de bonnes randonnées et nous aurons toujours plaisir à le recroiser et à discuter s'il nous reconnait.

 

 

 

Karakoram Highway

Après avoir quitté le Kirghizistan et nous être reposé quelques jours dans la ville de Kashgar (province chinoise du Xinjiang), dont voici le marché des animaux:

 

Images_Site/20060807_kashgar_marche_aux_animaux.jpg

 

...nous avons emprunté la fameuse KKH (KaraKoram Highway). Dès le départ nous grimpons face au Mustag-ata, franchissons un col à 4098 mètres...

 

Images_Site/20060807_col_3660m.jpg

 

...et plongeons sur Tashkurgan, la ville frontière avec le Pakistan.

Malgré nos tentatives pour passer la frontière avec nos vélos (voir article), nous avons rejoint le Pakistan en bus.

 

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Quelle frustration pour des cyclistes de passer le Khunjerab pass derrière les vitres (sales) d'un bus chinois.

 

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Arrivés à Sost, poste frontière Pakistanais, nous ressentons immédiatement le changement. Aucun contrôle des bagages ni des passeports et autorisation immédiate de remonter le Khunjerab à vélo (4730 mètres). Une bonne nuit dans cette ville grouillante et nous remontons les 85 kilomètres qui nous séparent du col, après avoir laissé nos bagages aux gardiens du parc qui nous hébergerons à la descente.

Côté Pakistanais, la KKH (KaraKoram Highway) est très encaissée avec plein de marmottes.

 

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Vers 3000 mètres, elle est bordée d'abricotiers, de pommiers et autres arbres fruitiers. Elle suit également la rivière Hunza en crue. La route étant emportée à plusieurs endroits nous prendrons fréquemment des bains de pieds.

 

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Au-dessus de nous les sommets mythiques comme le Rakaposhi, le Lady Finger et autres Golden Peak, semblent nous guider du haut de leurs 7000 mètres.

Aujourd'hui à Gilgit, nous allons quitter la KKH (KaraKoram Highway), pour nous diriger vers la frontière Afghane et la ville de Chitral...